Chouchane Siranossian, est aujourd’hui une des plus grandes virtuoses sur la scène baroque internationale, en solo, ainsi qu’aux côtés de nombreux orchestres prestigieux. Sa maîtrise de l’instrument, nourrie de ses recherches musicologiques et de son parcours exemplaire, ont fait d’elle une musicienne très recherchée et d’une grande singularité.
Au cours de la saison 2022/23, Chouchane Siranossian fait ses débuts au Wigmore Hall de Londres et au Brucknerhaus de Linz. Elle est en tournée avec le Stuttgarter Kammerorchester et Combattimento et donne des concerts avec, entre autres, le Beethoven Orchester Bonn, le Dortmunder Philharmoniker, le Prague Philharmonia, la Cappella Mediterranea et l’Orchestre de l’Opéra national de Lorraine. En outre, elle se produit à plusieurs reprises avec le Venice Baroque Orchestra ainsi qu’avec son programme « Bach before Bach », enregistré chez le Label Alpha Classics, qui a reçu le Diapason d’Or et un Pizzicato Supersonic.
Premier Prix et plusieurs fois Prix Spécial du concours international K. Penderecki, Astrig Siranossian se produit en soliste avec de grands orchestres. Invitée régulièrement par Daniel Barenboim, ses partenaires sur scène ne sont pas moins que Simon Rattle, Martha Argerich, Yo-Yo Ma, Kirill Gernstein, Elena Bashkirova, Emmanuel Pahud..
Régulièrement invitée sur les chaînes de télévision (TF1, France 2, France 5, CultureBox TV, BR Kultur..), ses enregistrements sont salués unanimement par la presse.
En mai 2022, Astrig fait ses débuts au Gewandhaus de Leipzig avec le Concerto n°2 en Mi mineur de Popper. En octobre 2022 sort son album Duo-Solo, rencontre entre mélodies et danses populaires et répertoire savant faisant dialoguer le violoncelle et la voix.
Il entre dans les classes de Claude Mathieu, George Werler, jacques Hadjaje, Thomas Bellorini. Il se forme aussi plus particulièrement auprès de François Beaulieu, sociétaire honoraire de la Comédie-Française. Immédiatement après sa sortie il joue dans « Mille francs de récompense », « Quand tu aimes il faut partir », « l’Eveil du Printemps », « Il fait beau jour et nuit », « Le Petit Prince » pour plus de 350 représentations.
En 2015, il intègre la troupe du Théâtre du Roi de Cœur. Il joue dans « Mais n’te promène donc pas toute nue », « Roméo et Juliette », « Les Trois Sœurs », « Feu la mère de Madame », « Le Sonde d’une Nuit d’été », « La Noce de Brecht », « Le Chat Botté », « Juste la fin du monde ». En 2017, il joue dans « Coriolan », « 12 hommes en colère », « Marie Tudor ». En 2018, « La Cantatrice Chauve », « Cyrano de Bergerac », « Dom Juan ». Il met en scène une création originale « Voici que mon esprit vole ». En 2019-2020, il reprend « La cantatrice chauve », et « Dom Juan », « Voici que mon esprit vole ».
Paru en septembre 2020, son deuxième disque récital « Bizet sans Paroles » (Mirare) est encensé par la critique et se voit récompensé d’un Diapason d’or alors que le Monde y voit « la confirmation d’un magnifique musicien » et « une indéniable réussite ». Le premier album de Nathanaël Gouin, Liszt Macabre, paru en 2017 avait déjà suscité des réactions enthousiastes des critiques. Incontestablement, Nathanaël Gouin figure comme l’une des voix les plus originales ayant émergé sur la scène musicale de ces dernières années.
Nathanaël Gouin est devenu un soliste recherché, se produisant en Europe, Asie, ou encore aux États-Unis. Il est invité dans des salles prestigieuses telles que la grande Salle Pierre Boulez de la Philharmonie de Paris et la Cité de la musique à Paris, Bozar et la Salle Flagey à Bruxelles, sans oublier des festivals tels que ceux de La Roque d’Anthéron, de Radio France Montpellier, ou encore Les Folles Journées de Nantes Tokyo Varsovie ou Ekaterinbourg, ainsi que la Salle Bourgie de Montréal.
Dans le domaine du concerto, Nathanaël Gouin cultive un répertoire large et curieux, ce qui lui vaut des collaborations stimulantes avec de nombreuses formations : le Philharmonique de Liège, l’ensemble Les Siècles, le New Japan Philharmonic, l’Orchestre National d’Île-de-France, le Brussels Philharmonic…
Parcourant les scènes internationales, Emmanuel Rossfelder est devenu dès son plus jeune âge, un des plus brillants guitaristes. Il remporte pour la première fois une prestigieuse « victoire de la musique », jamais décerné auparavant pour un guitariste, ce qui le propulse dans une carrière mondiale.
Il enregistre les grands classiques du répertoire mais également des créations.
Plus d’informations ici :
www.emmanuelrossfelder.net
Félicien Brut est devenu, en quelques années, le représentant de l’accordéon dans la nouvelle génération de musiciens classiques français, défendant ardemment le caractère polymorphe de son instrument et suscitant la création d’un nouveau répertoire lui étant dédié en musique de chambre et avec orchestre.
Félicien joue sur un Bayan Gadji conçu, accordé et entretenu par Stéphanie Simon.
Plus d’informations ici :
www.felicienbrut.com
Contrebasse solo à l’Orchestre Philharmonique de Radio France, après être rentré à 19 ans à l’orchestre de Lille, Edouard Macarez commence la contrebasse à l’âge de 10 ans. Il est lauréat de plusieurs concours nationaux et internationaux et se produit sur les scènes internationales.
Plus d’informations ici :
www.francemusique.fr